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jeudi 4 août 2016

A Sainte-Rita, la police a montré son vrai visage : celui d’une machine à obéir




Le 04/08/2016
 
 

Cet angélisme aveugle qu’adoptent les bobos sur la question migratoire est le même qui nous caractérise face aux forces de l’ordre.
 
Une semaine après l’assassinat du père Jacques Hamel par un islamiste, c’est la « raie-publique » bananière de Normal Ier qui s’en prend à la foi catholique.
Mercredi matin, une horde de CRS a déboulé dans l’église Sainte-Rita à Paris, en pleine communion, pour y « évacuer » (quel euphémisme !) la trentaine de personnes qui s’y étaient rassemblées pour prier.
 C’est le terme de la longue bataille autour de cette église dont la démolition était prévue depuis des mois.
Détail tragique et amusant à la fois : cette démolition est demandée par le propriétaire de l’église, l’Association des chapelles catholiques et apostoliques, qui souhaite céder le terrain à un complexe immobilier.
Des catholiques traditionalistes s’étaient naturellement insurgés contre un tel projet, arguant à juste raison qu’on ne vend pas son église pour trente pièces d’argent.
Or, depuis la Manif pour tous, nous avons pu apprécier, à moult reprises, l’amour passionnel que les hommes de Manuel Valls éprouvent pour les chrétiens tradis.

Cet amour s’est encore manifesté hier matin : hosties piétinées, objets liturgiques renversés, fidèles et clercs traînés par terre…

Il est loin le temps où la maréchaussée avait défense d’intervenir dans les églises, considérées alors comme des lieux d’asile inviolable.
On dit qu’en 410, quand les Goths ravagèrent Rome, le cruel roi Alaric épargna les églises et ceux qui s’y étaient réfugiés.
L’auguste pensionnaire de l’hôtel Matignon devrait songer à prendre exemple sur ce roi « barbare ».
Au lendemain de l’arrestation du général Piquemal, j’avais déjà dénoncé l’attitude du catho « bien élevé » consistant à soutenir les pandores qui n’hésitent pas à le malmener s’ils en reçoivent l’ordre.
J’avais réitéré suite aux violences qui avaient émaillé le mouvement contre la loi El Khomri, quand des policiers avaient réclamé « plus d’amour » de la part des Français.
Bien sûr, de tels articles antimilitaristes ne pouvaient me valoir que des insultes et des accusations de « gauchisme ».
Puis le drame de Magnanville est arrivé : depuis, il est encore plus difficile (surtout dans le camp patriote) de critiquer la police.
Cet « amour » s’est renforcé après l’affaire Sandra Bertin.
Le bleu flicard est devenu la couleur sacrée des rebelles bien élevés.
Mais voilà, l’amour n’est pas réciproque, en témoigne la violence des képiteux à leur encontre.
Nous, patriotes, avons l’habitude de moquer ces bobos qui soutiennent coûte que coûte les migrants et refusent d’associer l’islam à l’islamisme, ce, même s’ils se font cambrioler par des « chances pour la France » ou si leurs proches tombent sous les coups de terroristes.

Cet angélisme aveugle qu’adoptent les bobos sur la question migratoire est le même qui nous caractérise face aux forces de l’ordre.

Ils peuvent nous frapper, profaner nos lieux de culte, nous continuerons à bêler : « Vive la police ! »

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