Image d'illustration de migrants arrivant en Allemagne. Photo © SIPA
Inquiétude. Les autorités allemandes sont préoccupées. Elles n’arrivent pas à savoir où sont passés 130 000 migrants qui ont déposé une demande d’asile.
Vive inquiétude au ministère allemand de l’Intérieur
Cette semaine, les autorités allemandes ont dû affronter une dure réalité.
Elles ne savent pas où se trouvent 130 000 demandeurs d’asile qui ont été enregistrés lors de leur arrivée.
Dans un document rédigé par le ministère de l’Intérieur outre-Rhin, qu’a pu consulter un journaliste allemand, les autorités s’inquiètent d’avoir « perdu » ces demandeurs d’asile qui correspondent à 13% des réfugiés ayant franchi la frontière.
L’Europe au bord de la dislocation ?
Les pays d’Europe manifestent tous des signes d’inquiétudes après l’arrivée de plus d’un million de migrants.
Cette semaine, la Belgique a restauré ses contrôles à la frontière française, suscitant la colère de Bernard Cazeneuve le ministre de l’Intérieur.
Ce matin, c’est la Grèce qui a refusé d’accueillir la ministre de l’Intérieur autrichienne sur son sol.
En cause, la décision de l’Autriche de renforcer ses contrôles aux frontières pour éviter d’être submergée.
Elle a, en outre, refusé d’accueillir 37 500 nouveaux migrants.
Le pays a aussi rétabli des contrôles stricts à sa frontière avec la Slovénie et l’Italie.
Il y a quelque temps, l’Autriche a fait savoir qu’elle n’accepterait plus d’accueillir plus de 80 migrants par jour.
Elles ne savent pas où se trouvent 130 000 demandeurs d’asile qui ont été enregistrés lors de leur arrivée.
Dans un document rédigé par le ministère de l’Intérieur outre-Rhin, qu’a pu consulter un journaliste allemand, les autorités s’inquiètent d’avoir « perdu » ces demandeurs d’asile qui correspondent à 13% des réfugiés ayant franchi la frontière.
L’Europe au bord de la dislocation ?
Les pays d’Europe manifestent tous des signes d’inquiétudes après l’arrivée de plus d’un million de migrants.
Cette semaine, la Belgique a restauré ses contrôles à la frontière française, suscitant la colère de Bernard Cazeneuve le ministre de l’Intérieur.
Ce matin, c’est la Grèce qui a refusé d’accueillir la ministre de l’Intérieur autrichienne sur son sol.
En cause, la décision de l’Autriche de renforcer ses contrôles aux frontières pour éviter d’être submergée.
Elle a, en outre, refusé d’accueillir 37 500 nouveaux migrants.
Le pays a aussi rétabli des contrôles stricts à sa frontière avec la Slovénie et l’Italie.
Il y a quelque temps, l’Autriche a fait savoir qu’elle n’accepterait plus d’accueillir plus de 80 migrants par jour.
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