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mardi 16 décembre 2014

Tuerie de Sydney : mais pourquoi cet Iranien était-il en Australie ?

Jean Bonnevey
le 16/12/2014


Man Haron Monis at a Muslim protest in Lakemba earlier this year in response to the terro

 
Nos sociétés aux antipodes de ce qu’il faut faire.
 
L’Australie va se durcir après la prise d’otage de Sydney.
Il y a de quoi!
Le pays sous le choc va s’interroger sur le seul point qui compte.
 Pourquoi ce malade iranien de la religion et du sexe était-il en liberté et sur le sol australien dans la capacité de nuire.
 Ce problème est commun à toutes nos sociétés infiltrées par des fanatiques paranoïaques grâce au cheval de Troie mondial de l’immigration mal contrôlée et mal sanctionnée quand elle est hors nos lois.
Car ce sont nos lois et nos modes de vie qui doivent être protégés avec notre sécurité et pas le prosélytisme communautariste  religieux.
 
Un Iranien chiite qui se revendique des sunnites de l’armée islamique au levant… déjà c’est curieux.
Le comportement de l’homme, provocateur fasciné par les médias,  l’avait mis sous le feu des projecteurs à plusieurs reprises.
 Les journaleux porteurs de micro l’avaient valorisé et lui avaient donné la parole en dehors du raisonnable.
 Enfin malgré des agressions criminelles répétées contre les femmes, il était toujours libre d’agir en prédateur urbain, soupçonné de viols d'agressions et même du meurtre d’une de ses épouses, cela aurait du suffire pour le neutraliser non ?
Il y a tout de même des questions à se poser
 
Ce réfugié Iranien nommé Man Haron Monis, était arrivé en Australie en 1996.
Connu des autorités, Man Haron Monis « souffrait d'instabilité mentale », comme l'a indiqué le premier ministre australien Tony Abbott.
 C’est curieux tout de même comment tous ces musulmans fanatiques qui passent à l’acte sont vite classés comme déséquilibrés isolés, après les loups solitaires qui ne le sont jamais, les fadas isolés qui tout de même ont une folie commune, leur religion.
 
Mardi, le premier ministre a précisé que l’individu était connu de la police mais n'était pas considéré comme un terroriste potentiel à surveiller.
 Ce qui montre bien la vulnérabilité de nos sociétés laxistes vis-à-vis  de certains étrangers qui se servent de nos lois.
 De confession chiite, cet islamiste radical de 50 ans se serait « autoproclamé cheikh » selon les autorités musulmanes australiennes, 40 organisations qui ont condamné son geste.
Comment peut-il y avoir 40 associations musulmanes en Australie d’ailleurs ?
 
Le 10 novembre, Man Haron Monis, qui se faisait parfois appeler Mohammad Hassan Manteghi, avait annoncé sur son site internet avoir prêté allégeance au « calife des musulmans », Abou Bakr Al-Baghdadi, le chef du groupe djihadiste Etat islamique, qui évolue actuellement en Irak et en Syrie.
C’est donc un apostat.
Un soutien qu'il a renouvelé récemment.
Lors de sa prise d'otages, lundi, il a forcé plusieurs détenus à tendre sur la vitrine du Lindt Chocolat Cafe un drapeau noir portant des caractères arabes mentionnant la shahada, ou profession de foi musulmane : « Il n'y a de Dieu qu'Allah et Mahomet est son prophète ».
 Man Haron Monis a également demandé à ce qu'on lui apporte un drapeau de l'Etat islamique. 
 
Man Haron Monis s'était fait connaître en 2011 après avoir envoyé des lettres d'injures, mais aussi un message enregistré en DVD, aux familles de soldats tués en Afghanistan, ce qui lui a valu trois cents heures de travaux d'intérêt général.  
Sur son site internet, il se disait victime de harcèlement de la part des autorités australiennes.
Man Haron Monis estimait en effet être la cible d'une campagne de diffamation en tant que « militant musulman »
Pauvre chéri !
 
Mais il n’était pas que ça

Man Haron Monis était soupçonné d'être l'instigateur du meurtre de son ex-femme, en avril.
 Noleen Hayson Pal, 30 ans, et mère de deux enfants, avait été retrouvée poignardée à Sydney, selon le Telegraph.
En liberté conditionnelle, il attendait d'être jugé pour complicité de meurtre.
Man Haron Monis était également mis en cause pour 36 faits d'agressions et d'abus sexuels remontant à 2002.
 Mais pourquoi diable étai- il en liberté ?
L'homme se proclamait par ailleurs expert en astrologie, numérologie, méditation et magie noire, selon le Sydney Morning Herald.
 
Ce qui compte in fine c’est la sécurité des Australiens qui se posent la question: comment pouvait-il être encore chez nous et combien sont-ils?
 
 Avec cette revendication que le gouvernement australien devrait vite  entendre… il faut agir pour  contrôler ces gens là et les empêcher de nuire  avant de les expulser, quitte a réformer des lois de libertés dépassées.

Les antipodes n’ont jamais été aussi proches de nous.

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