Translate

dimanche 9 juin 2013

Le gauchisme, maladie sénile du communisme.

 
 
Lénine avait défini le gauchisme comme la maladie infantile du communisme. 80 millions de morts et près de 100 ans plus tard, le communisme n'est plus guère vaillant.
 
 Le gauchisme, lui, se porte à merveille, en tout cas en France. Dans ce pamphlet, Benoît Rayski dresse un portrait décapant de cette spécialité française que le monde .... ne nous envie pas : "le gauchiste"
 
"En 1920, Lénine avait défini le gauchisme comme étant la maladie infantile du communisme.
Le camarade Oulianov n’était pas un tendre et il n’avait pas la moindre empathie pour ces gazouillis de nourrisson, incompréhensibles mais non dépourvus de charme. Aujourd’hui le nourrisson est devenu un vieillard cacochyme qui se déplace en chaise roulante. Aux gazouillis ont succédé des borborygmes chevrotants. Cela porte un nom : la maladie sénile du communisme. Et, plus généralement, de la gauche."

Le gauchiste est ce produit 100% made in France, non exportable et non délocalisable, dont la caractéristique première est d'aimer les peuples. Tous les peuples. Dans la mesure, bien sûr, où ceux-ci ont le bon goût de se conformer à ses caprices, ses passions et ses détestations : le capitalisme, le FMI, la BCE, "notre ennemie la finance", les riches, l'occupation israélienne, la religion "opium du peuple", etc...

"Reste qu’il ne faut pas trop taper sur le gauchiste. C’est un être malheureux, dont la souffrance doit être prise en considération. En effet, que ce soit post coïtem ou ante coïtem, l’animal est triste. Au-dessus de lui plane la main invisible du marché. Il essaie de la mordre, de la broyer dans ses mâchoires. Peine perdue, elle est trop haute, et les bonds révoltés du gauchiste n’excèdent pas ceux d’un batracien. Ô rage, ô désespoir ! Alors il regarde autour de lui, vers le lointain, à la recherche d’une lueur, d’une aurore d’espérance. Et tout ce qu’il trouve, c’est Ahmadinejad en Iran et Chavez au Venezuela. Deux sympathiques pourfendeurs de l’axe américano-sioniste."
De son grand prêtre Hessel à son prophète Mélenchon ou ses icônes Mermet et Marcelle en passant par les incohérences de ses raisonnements ou son étrange pouvoir de séduction médiatique, plongée dans les étonnants méandres de la galaxie de cette vache sacrée de la société française.

En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/editions/books/gauchisme-maladie-senile-communisme-740104.html#QrL3BQwwg3Mk7Xw4.99

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.