Tous devant le Grand Orient de France !
 

 
Ce Vendredi 24 mai à 19H 30 aura lieu une manifestation devant le Grand Orient de France, rue Cadet. Nouvel Arbitre appelle tous les parisiens et les personnes de passage à se rendre devant une officine dont la Jeunesse, la France et la Politique ont grandement à se plaindre. Déjà quelques âmes égarées doivent s’esclaffer, on raconte même que les journalistes du pieux journal Le Monde s’apprêtent à revendiquer leurs hauts diplômes de sciences politiques pour résumer cette belle action à une résurgence des années 30. On n’arrête pas la bêtise. Regardez Pierre Bergé.
Manieurs d’Index, Contempteurs professionnels, Amateurs d’anathèmes grossiers, voilà comment résumer l’attitude des figures maçonnes…

Pourquoi manifesterons-nous ?



Pourquoi irons-nous manifester rue Cadet ? Nous irons tout d’abord car le printemps français, ce vaste mouvement de reprise en main du politique, refuse le saccage de la démocratie. Ce saccage est le fait de nombre d’officines, d’intérêts, de magouilles au sein desquels le Grand Orient de France joue un rôle tout à fait singulier. Nous accusons solennellement le Grand Orient de France de pourrir le débat intellectuel et politique en France. Manieurs d’Index, Contempteurs professionnels, Amateurs d’anathèmes grossiers, voilà comment résumer l’attitude des figures maçonnes qui interviennent dans le monde médiatique. Nous accusons solennellement le Grand Orient de France de montrer un exemple déplorable à la Jeunesse. Ces petites affaires entourées de décorum cramoisis, ces entourloupes politiciennes qui menacent la République, ces influences enfin qui brouillent le sens commun et le soucis de l’Intérêt Général sont l’illustration parfaite de ce que notre Jeune Sang combat. Nous accusons enfin le Grand Orient de France d’avoir sapé les principes même du Mérite, de l’ascension sociale et de la transparence démocratique qui firent l’Honneur de la France.
Notre Pays : vous pillez sa tombe et laissez les bandelettes
C’est le Pays réel qui sera là. C’est le Pays réel que vous avez bafoué pendant tant d’années en intervenant scandaleusement dans des affaires judiciaires, dans des choix de carrières brisant par là même des destins, des familles, des repères. C’est le pays réel à qui vous avez tenu un discours de mensonge pendant tant de décennies en usurpant les places, en saccageant des mémoires, en désinformant à tout va. Vos pyramides grotesques symbolisent surtout votre rapport à notre Pays : vous pillez sa tombe et laissez les bandelettes. Marianne insultée attendait ses servants. Elle en aura toute une foule venue la rassurer. Vous nous insulterez, nous nous y attendons. Vous demandez sans doute aux commandants de police de régler notre compte, de frapper, de gazer, de mépriser nos droits. Nous nous y attendons. Ce sera un honneur.

Je vois les Maçons tomber comme la foudre.

Vous vous plaindrez sans doute, quelques journalistes ont des oreilles adorables pour vos langues attentives. Vous direz: danger, laïcité, démocratie. Tous ces mots que vous mutilez au quotidien en emprisonnant ce sens si beau que nos Pères leur avaient donnés. Tous ces mots que vous souhaitez couper du réel en manipulant leur sens, en insultant leur honneur. Ah, vous êtes discrets, et vos saluts en triangle comme vos doigts chatouilleurs alimentent des fantasmes regrettables. Tous ces délires de complots, toute cette désorientation politique, ce désamour des français pour leurs élites, c’est Vous. Vous appliquez exactement la logique du vrai collaborateur : attitude servile, communautarisme avant l’heure, trahison des sentiments humains. Vous n’avez rien épargné et nous attendons impatiemment qu’une presse libre vienne jeter l’éclairage sur la nature de vos faits, de vos intentions, de vos méthodes.
Notre sort ne se jouera pas dans vos corbeilles.
Sachez-le, nous n’avons pas peur. Nous n’avons plus peur. La France à votre pied a beaucoup trop perdu. La France à votre botte à bien trop reculé. Le Monde à votre suite s’est bien trop enlaidi pour que nous craignions vos armes et vos scandales. Nous sommes la liberté. Nous nous assemblerons pour redire ce cri deux fois millénaire d’une France fille aînée de l’Eglise, maîtresse de l’Europe, héritière des savoirs et matrice de la Justice. Nous sommes la liberté. Nous nous assemblerons car nous défendons l’humain quand vos affaires priment. Nous nous assemblerons car nous défendons des valeurs quand vous les méprisez. Nous nous assemblerons parce que nous sommes La Jeunesse. La France n’aime pas les robots. Elle aime le Beau, elle aime la Grandeur. Notre sort ne se jouera pas dans vos corbeilles. Tremblez, nous ne lâcherons rien !

Charles de Meyer